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PAN a déménagé et se trouve
maintenant à Garches (92380)
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PRESENTATIONL'idée de cette association s'est concrétisée à l’occasion d'une réunion d'une association s'occupant d'échanges avec l'Inde. Être invités par des amis africains, vivre chez eux, voyager à travers le pays avec eux, rencontrer des associations de femmes, de paysans : nous avons pensé que ce tourisme « autrement » répondait aux vœux de beaucoup de connaître un pays à travers ses habitants, ses coutumes, son mode de vie. En 1997, l'association PAN-PROJET-AFRICAIN était née. Elle organisait depuis un voyage annuel pour un petit groupe afin de permettre la découverte d'un pays africain - le Niger - dans sa réalité quotidienne. Elle offrait également aux membres nigériens la possibilité d'un voyage en France dans les mêmes conditions. Chaque voyage était conjointement l'occasion d'apporter une aide concrète au village de Haricouka (sous la forme de fournitures scolaires et de médicaments). Malheureusement, suite aux problèmes d'insécurité qui sévissent dans la région depuis 2010, nous avons dû renoncer aux voyages au Niger. Mais une équipe de jeunes adhérents nigériens a pris le relais et poursuit nos actions sur place. Depuis 2009 PAN s'est engagée aux côtés de l'association béninoise CPN les Papillons dans des actions de sensibilisation à l'hygiène et au respect de la nature auprès de plusieurs milliers d'enfants de la région de Dassa. En 2016 et 2017, construction de latrines, citernes d’eau, urinoirs et lave-mains dans plusieurs écoles primaires avec la participation financière du Conseil Départemental du Val-de-Marne et de la Région Ile-de-France. Chaque année, un voyage au Bénin permet à quelques adhérents de découvrir le pays et de constater l'efficacité des actions que nous soutenons. En 2015, PAN adhère au CoNiF
(Conseil des Nigériens de France) pour organiser ensemble une
Journée de promotion de la culture nigérienne en 2016
OBJECTIFS
« Si l'Afrique est pauvre de ce dont nous sommes riches, en revanche, elle est encore riche de ce dont nous sommes pauvres » Serge
Latouche
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